| Aantekeningen |
- Nog wat info betreffende ‘Boucq’ Frankrijk:
1 LE BOUCQ Valenciennes
http://agfh59.free.fr/bulletin_genealogique.htm
2
http://boucq.chez-alice.fr/Welcome.htm
http://boucq.chez-alice.fr/Nom.htm
http://boucq.chez-alice.fr/Repart.htm
La répartition géographique du nom aujourd'hui
En fonction de la liste des abonnés du téléphone (période 1994-1995).
On constate deux zones de forte densité : le centre-ouest et le nord.
Selon que le nom à une ou plusieurs souches concurrentes, il sera dit mono- ou poli-philétiste.
A partir du constat suivant :
les noms Le Boucq de Ternas, de Beaudignies et de Carnin sont liés à la noblesse belge,
présence du nom Le Boucq de Carnin dans le Nord en 1416,
puis dans l’Orne avant 1586,
concentration historique des déclinaisons du nom dans l’ouest de la France
Une hypothèse peut être avancée :
Le nom prend son origine en Flandre, puis descend progressivement vers les Charentes en passant par la Normandie et dans une partie de la Bretagne. Il faut noter qu’au cours du XVII° siècle, les marais charentais ont été asséchés avec le concours d’ingénieurs hollandais
Elle n’explique pas :
- la présence précoce du nom (1336) en Ille et Vilaine.
- la présence isolée du nom, notamment dans le sud-est de La France.
D’autre part, peut-on imaginer qu’avant d’être retrouvé en Flandre, le nom ait eu pour origine la commune de Boucq ? Ceci n’est possible que si cette dernière à porté le nom de Bouc ou Boucq avant le XII° siècle (période d’attribution et de transmission des noms) - Ce que seule, une des sources - celle de la carte de Rengévol (Bouc en 1152) - confirme.
Un nombre significatif d’actes ont été recensés en Moselle et Meurthe et Moselle dans la période 1650 - 1750. Aujourd’hui, il n’y a, d’après le minitel, qu’un Boucq en Moselle. La région à souffert du phylloxera au début du XX° siècle, l’exode de la guerre a accentué le dépeuplement. Toujours d’après un service minitel, aucun Boucq n’est présent dans cette région entre 1891 et 1915, 14 sont cités entre 1941 et 1965, et de nouveau aucun entre 1966 et 1990.
Etudions d’autres hypothèses :
Un seul foyer d'origine :
L’Ille est Vilaine puis une migration vers les Charentes et le Nord.
Les Charentes puis une migration notamment de protestants vers les pays Luthériens : Allemagne, Pays-Bas, Belgique, lors de la révocation de l'édit de Nantes (1685). Un argument en faveur de cette hypothèse : des porteurs du nom sont ou ont été protestants. L'acte d'abjuration de Jean Boucq le 18 janvier 1789 et celui de Jeanne Bouc le 5 janvier 1792 ; tous deux pour pouvoir se marier selon les rites de la religion catholique "apostolique et romaine" dans la commune de Bourg-Charente le prouvent ; les actes retrouvés dans les registres protestants aussi.
Cependant on retrouve des traces plus anciennes dans le Nord et en Belgique, mais cela peut être dû aux liens avec la noblesse.
Deux foyers :
dans les Charentes et dans le nord qui ont migré vers Paris lors de la révolution industrielle.
dans les Charentes et dans l’est avec migration de l’est vers le nord
Pour consolider l’une des hypothèses; il est nécessaire de :
- savoir si la forme définitive du nom de la commune est antérieur ou au moins simultanée à l’époque où les patronymes ont été attribués,
- d’étudier les phénomènes migratoires en France et dans le Nord de l’Europe.
En ce qui concerne nos ascendants directs, la migration de la Charente vers Paris a eu lieu entre 1878 et 1895.
La carte ci-dessous présente la répartition actuelle du nom Boucq et de ses déclinaisons (Bouc, Lebouc ...).
Enfin, cette dernière carte mentionne la date de la première apparition connue en France et à l'étranger du nom Boucq et de ses déclinaisons.
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